la boite a merveilles ملخص مجزوؤات
Résumé Chapitre par Chapitre Tous le roman «La boîte à merveilles»:
Chapitre I: Dar Chouafa:
Deux
éléments déclenchent le récit: la nuit et la solitude. Le poids de la solitude.
Le narrateur y songe et part à la recherche de ses origines: l’enfance. Un
enfant de six ans, qui se distingue des autres enfants qu’il côtoie. Il est
fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes invisibles. A travers les
souvenirs de l’adulte et le regard de l’enfant, le lecteur découvre la maison
habitée par ses parents et ses nombreux locataires. La visite commence par le
rez-de-chaussée habité par une voyante. La maison porte son nom : Dar Chouafa. On
fait connaissance avec ses clientes, on assiste à un rituel de musique Gnawa,
et on passe au premier où Rahma, sa fille Zineb et son mari Aouad, fabricant de
charrues disposaient d’une seule pièce. Le deuxième étage est partagé avec
Fatma Bziouya. L’enfant lui habite un univers de fable et de mystère, nourri
par les récits de Abdellah l’épicier et les discours de son père sur l’au-delà.
L’enfant de six ans accompagne sa mère au bain maure. Il s’ennuie au milieu des
femmes, Cet espace de vapeur, de rumeurs, et d’agitation était pour lui bel et
bien l’Enfer. Le chapitre se termine sur une sur une querelle spectaculaire
dont les acteurs sont la maman de l’enfant et sa voisine Rahma.
Chapitre II: Visite d'un sanctuaire:
Au Msid, école coranique, l'enfant découvre
l'hostilité du monde et la fragilité de son petit corps. Le regard du Fqih et
les coups de sa baguette de cognassier étaient source de cauchemars et de
souffrance. A son retour, il trouve sa mère souffrante. La visite que Lalla
Aicha, une ancienne voisine, rend ce mardi à Lalla Zoubida, la mère de
l'enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi Boughaleb.
L'enfant pourra boire de l'eau de sanctuaire et retrouvera sa gaieté et sa
force. L'enfant découvre l'univers du mausolée et ses rituels. Oraisons,
prières et invocations peuplaient la Zaouia. Le lendemain, le train train
quotidien reprenait. Le père était le premier à se lever. Il partait tôt à son
travail et ne revenait que tard le soir. Les courses du ménage étaient assurées
par son commis Driss. La famille depuis un temps ne connaissait plus les
difficultés des autres ménages et jouissait d'un certain confort que les autres
jalousaient.(rahma donna a sidi.m un cabuchonde verre).
Chapitre III: Le repas des mendiants aveugles:
Zineb, la fille de Rahma est perdue. Une
occasion pour lalla Zoubida de se réconcilier avec sa voisine. Tout le
voisinage partage le chagrin de Rahma. On finit par retrouver la fillette et
c'est une occasion à fêter. On organise un grand repas auquel on convie=inviter
une confrérie de mendiants aveugles. Toutes les voisines participent à la
tâche. Dar Chouafa ne retrouve sa quiétude=tranquillite et son rythme que le
soir. Le printemps.
Chapitre IV: Les ennuis
de Lalla Aicha:
Les premiers jours du printemps sont là. Le
narrateur et sa maman rendent visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la
journée chez cette ancienne voisine. Une journée de potins pour les deux femmes
et de jeux avec les enfants du voisinage pour le narrateur. Le soir, Lalla
Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari da Lalla Aîcha, Moulay Larbi
avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier avait renié ses dettes et
même plus avait prétendu avoir versé la moitié du capital de l'affaire. Les
juges s'étaient prononcés en faveur de Abdelkader. L'enfant, lui était
ailleurs, dans son propre univers, quand ce n'est pas sa boîte et ses objets
magiques, c'est le légendaire Abdellah l'épicier et ses histoires. Personnage
qu'il connaît à travers les récits rapportés par son père. Récits qui
excitèrent son imagination et l'obsédèrent durant toute son enfance
Chapitre V: L'école
coranique:
Journée au Msid. Le Fqih parle aux enfants de
la Achoura. Ils ont quinze jours pour préparer la fête du nouvel an. Ils ont
congé pour le reste de la journée. Lalla Aîcha , en femme dévouée, se dépouille
de ses bijoux et de son mobilier pour venir au secours de son mari. Sidi
Mohamed Ben Tahar, le coiffeur, un voisin est mort. On le pleure et on assiste
à ses obsèques. Ses funérailles marquent la vie du voisinage et compte parmi
les événements ayant marqué la vie d de l'enfant.
Chapitre VI: Préparatifs
de la fête:
Les préparatifs de la fête vont bon train au
Msid. Les enfants constituent des équipes. Les murs sont blanchis à la chaux et
le sol frotté à grande eau. L'enfant accompagne sa mère à la Kissaria. La fête
approchait et il fallait songer à ses habits pour l'occasion. Il portera un
gilet, une chemise et des babouches neuves. De retour à la maison, Rahma
insiste pour voir les achats fait à la Kissaria. Le narrateur est fasciné par
son récit des mésaventures de Si Othman, un voisin âgé, époux de Lalla Khadija,
plus jeune que lui.
Chapitre VII: La fête de
l'Achoura:
La fête est pour bientôt. Encore deux jours.
Les femmes de la maison ont toutes acheté des tambourins de toutes formes.
L'enfant lui a droit à une trompette. L'essai des instruments couvre l'espace d'un
bourdonnement sourd. Au Msid, ce sont les dernières touches avant l e grandes
jour. Les enfants finissent de préparer les lustres. Le lendemain, l'enfant
accompagne son père en ville. Ils font le tour des marchands de jouets et ne
manqueront pas de passer chez le coiffeur. Chose peu appréciée par l'enfant. Il
est là à assister à une saignée et à s'ennuyer des récits du barbier. La rue
après est plus belle, plus enchantée. Ce soir là, la maison baigne dans
l'atmosphère des derniers préparatifs.
Le jour de la fête, on se réveille tôt, Trois
heures du matin. L'enfant est habillé et accompagne son père au Msid célébrer
ce jour exceptionnel. Récitation du coran, chants de cantiques et invocations
avant d'aller rejoindre ses parents qui l'attendaient pour le petit déjeuner.
Son père l'emmène en ville.
A la fin du repas de midi, Lalla Aicha est là.
Les deux femmes passent le reste de la journée à papoter et le soir, quand
Lalla Aicha repart chez elle, l'enfant lassé de son tambour et de sa trompette
est content de retrouver ses vieux vêtements. L'été.
Chapitre VIII: Les bijoux
du malheur:
L'ambiance de la fête est loin maintenant et
la vie retrouve sa monotonie et sa grisaille. Les premiers jours de chaleur
sont là. L'école coranique quitte la salle du Msid, trop étroite et trop chaude
pour s'installer dans un sanctuaire proche. L'enfant se porte bien et sa
mémoire fait des miracles. Son maître est satisfait de ses progrès et son père
est gonflé d'orgueil. Lalla Zoubida aura enfin les bracelets qu'elle désirait
tant. Mais la visite au souk aux bijoux se termine dans un drame. La mère qui
rêvait tant de ses bracelets que son mari lui offre, ne songe plus qu'a s'en
débarrasser. Ils sont de mauvais augure et causeraient la ruine de la famille.
Les ennuis de Lalla Aicha ne sont pas encore finis. Son mari vient de
l'abandonner. Il a pris une seconde épouse, la fille de Si Abderahmen, le
coiffeur.
Si l'enfant se consacre avec assiduité à ses
leçons, il rêve toujours autant. Il s'abandonne dans son univers à lui, il est
homme, prince ou roi, il fait des découvertes et il en veut à mort aux adultes
de ne pas le comprendre. Sa santé fragile lui joue des tours. Alors que Lalla
Aîcha racontait ses malheurs, il eut de violents maux de tête et fut secoué par
la fièvre. Sa mère en fut bouleversée.
Chapitre IX: Un ménage en
difficulté:
L'état de santé de l'enfant empire. Lalla
Zoubida s'occupe de lui nuit et jour. D'autres ennuis l'attendent. Les affaires
de son mari vont très mal. Il quitte sa petite famille pour un mois. Il part
aux moissons et compte économiser de quoi relancer son atelier. L'attente, la
souffrance et la maladie sont au menu de tous les jours et marquent le
quotidien de la maison. Lalla Zoubida et Lalla Aicha, deux amies frappées par
le malheur, décident de consulter un voyant, Sidi Al Arafi.
Chapitre X:
Superstitions:
Les conseils, prières et bénédictions de Sidi
Al Arafi rassurèrent les deux femmes. L'enfant est fasciné par le voyant
aveugle. Lalla Zoubida garde l'enfant à la maison. Ainsi, elle se sent moins
seule et sa présence lui fait oublier ses malheurs. Chaque semaine, ils vont
prier sous la coupole d'un saint. Les prédications de Sidi A Arafi se
réalisent. Un messager venant de la compagne apporte provisions, argent et
bonne nouvelles de Sidi Abdesalam. Lalla Aicha invite Lalla Zoubida. Elle lui
réserve une surprise. Il semble que son mari reprend le chemin de la maison.
Chapitre XI: Papotage de
bonnes femmes:
Thé et papotage de bonnes femmes au menu chez
Lalla Aicha. Salama, la marieuse, est là. Elle demande pardon aux deux amies
pour le mal qu'elle leur a fait. Elle avait arrangé le mariage de Moulay Larbi.
Elle explique que ce dernier voulait avoir des enfants. Elle apporte de bonnes
nouvelles. Plus rien ne va entre Moulay Larbi et sa jeune épouse et le divorce
est pour bientôt. Zhor, une voisine, vient prendre part à la conversation. Elle
rapporte une scène de ménage. Les femmes la fille du coiffeur, épouse de Moualy
Larbi , de sa famille. le flot des potins et des médisances. N'en fint pas et
l'enfant lui, qui ne comprenait pas le sens de tous les mots est entraîné par
la seule musique des syllabes.
Chapitre XII: Un conte de
fée a toujours une chute heureuse:
La grande nouvelle est rapportée par Zineb.
Maâlem Abdslem est de retour. Toute la maison est agitée. Des you you éclatent
sur la terrasse Les voisines font des vœux. L'enfant et sa mère sont heureux.
Driss, est arrivé à temps annoncer que le divorce entre Moulay Larbi et la
fille du coiffeur a été prononcé. La conversation de Driss El Aouad et de
Moulay Abdeslem, ponctuée de verres de thé écrase l'enfant. Il est pris de
fatigue mais ne veut point dormir. Il se sent triste et seul. Il tire sa boite
à merveille de dessous son lit, les figures de ses rêves l'y attendaient.
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